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25 juin 2007 1 25 /06 /juin /2007 17:14

Et puis soudain
Des pierres quittent la montagne
A la vitesse de l'ombre
Juste le temps
De recycler
Ce qui se meurt
Et qui nous reste
Sur les bras

Mais que peut on y faire

On ne quitte pas le parti
C'est la montagne 
Qui les trahit
Et que de tout leur poids 
Elle aillent 
Nager ailleurs

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commentaires

D
Bon we ! bisous !
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P
De bien jolie mots Fernando...sourire...te souhaite une bonne journée...bisous à toi...Petit Ange...
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A
poème un peu énigmatique, sens caché, serait ce encore la guerre d'Espagne qui aurait laissé ses séquelles au fond de toi, au fond de tes ancêtres ? bisous
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:
Joli texte !  Bonne journée
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L
qui de la montagne ou la pierre lache l'autre ? Un poème qui me laisse perplexe comme beaucoup de tes poèmes d'ailleur ;-)bonne journée.
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A
bonjour toujours beau quel plaisir  de lire tes lignesbisous
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I
Holà Fernando! qué tàl?Pour moi le parti...... c'est rouge!Je passe souvent tu sais mais je ne mets pas toujours un com... j'aime ce que tu écris mais c'est toujours difficile de  lâcher des mots après les tiens! tu vois?Bonne soiréeDany
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M
bonsoir Fernando,c'est encore un texte qui me plait, cette sorte de fatalité à laquelle on ne peut échapper, mais qui ne signifie pas forcément la fin, juste un autre commencement...bonne soirée
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B
C'est pour Ségolène que tu as écrit ça ? Bonne soirée Fernando. Bisous !
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C
Beau, mais ... politique ?...
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philosophie

Écrire

Malgré l’usure

Malgré l’érosion

Malgré les tremblements

Malgré l’éclatement des pierres

Écrire

Malgré le grand éboulement

Écrire

Parmi les gravats

Écrire

A même les décombres

 

 

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