17 novembre 2007
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une absence
est
passé
et m'a laissé
en partant
et m'a laissé
ses formes
de vent
une absence
est
passé
et m'a laissé
en partant
et m'a laissé
le poids
de la faim
une absence
est
passé
et m'a laissé
en partant
et m'a laissé
la porte
close
une absence
est
passé
et m'a laissé
en partant
et m'a laissé
face à face
avec moi même
une absence
est
passé
et m'a laissé
en partant
et m'a laissé
rempli
à jamais
et moi
desormais
à jamais
à jamais
je visite
ses restes
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poesies
17 novembre 2007
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il y a des
mots qui ne
font pas le poids
il y a des
mots
qui pèsent
qui pèsent
plus que
la pensée
des mots
tres
lourds
qui
fabriquent
la pensée
des mots
si
lourds
qu'ils
écrasent
la pensée
que peut on faire avec ses mots a part les ré ingurgiter............................................
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17 novembre 2007
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01:51
le vent
va souffler
toute la nuit
j'aimerais
qu'il
souffle fort
qu'il souffle
fort
et juste
qu'il souffle
un de ses
chants anciens
un de ses
chants
dignes
une de
ses belles
poesies
a faire
taire
la colère
a faire
taire
la rencoeur
un de
ses magnifiques
chants
capable
de couvrir
mon râle
capable
d'habiller
cette solitude
cette
terrible
soiltude
qui me
rend
fou
et me tue................................................................................................
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13 novembre 2007
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16:58
tes
mains
me disent
elles me disent
ce que
tu caches
elles parlent
d'une autre
peau
et des traces
qu'elles y ont
laissés
elles parlent
encore
de leurs prodiges
de leurs prodiges
et des
soubresauts
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poèmes d'amour
11 novembre 2007
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17:07
il me il me il me
faudra faudra faudra
crier hurler me desenfouir
pour me pour me pour ne
soustraire tirer pas
au silence de l'oubli finir
même même dans
si j'aurais si j'aurais cette terre
préféré préféré sans mots
lui lui dans
sussurer chanter cette terre
doucement doucement sans nom
poème déclanché par un vers de faux rêveur
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poesies
10 novembre 2007
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16:52
quand tu seras
de retour
le dépôt
dont
j'ai la garde
sera
encore
et toujours
ouvert
à ton tourbillon
à ton terrible
tourbillon
pareil
à ceux
qui servent
aux semailles
...
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poèmes d'amour
10 novembre 2007
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13:37
J'avoue
mon
éffroi
De ce
qui vient
au loin
Et mes
doigts
en sang
Mes doigts
en sang
d'encre
Laissent
leurs traces
maladroites
Sur
les mots
d'hier
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10 novembre 2007
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j'avoue
que tout
me pèse
le monde
sur
le dos
et en héritage
ses millions
d'histoires
ses millions
de terribles
histoires
de terribles
histoires
sans paroles
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poèmes d'amour
9 novembre 2007
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00:32
Le matin
éteint
un à un
Un à un
nos
rêves
Mais
le matin
n'abolit pas
Mais il
n'abolit pas
leurs traces
Ni leur
goût
dans la bouche
Et ces pierres
nocturnes
embrasent
Notre chemin
entre chaque
massacre
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poesies
7 novembre 2007
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00:39
J'aurais voulu
disperser
à la volée
Sur
ton corps
labouré
Comme
si le temps
m'était compté
J'aurais voulu
dispersée
d'un geste fou
comme le volcan
qui jette
sa fumée
tout ce que
j'aurais dû
penser
et voir pousser
mes cris
sur ta chair ouverte
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poesies